• Je viens de prendre des nouvelles de ma mère, rien à changer, cette après-midi un autre docteur spécialiste dans les avc viens la voir, pour voir si l'on peut la nourrir, elle n'arrive pas à avaler


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  • Depuis lundi, je vis entre la maison de retraite de ma mère,et l'hôpital, ma mère a fait un AVC, le premier jour, elle ne bougeait plus du tout, le deuxième elle a commencé à nouveau a me suivre avec ses yeux, aujourd'hui elle comprend se que l'on lui dit et répond par hochement de la tête, on ne peut pas la nourrir, elle est seulement sous perfusion.

    Elle va avoir 96 ans le 8 décembre, si elle doit rester dans cet état, il faudrait mieux qu'elle s'éteigne doucement.


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  • Icarte france regionCELLE DES SIÈCLES DERNIERS, ENFIN PRESQUE

     POURQUOI TOUJOURS TOUT CHANGER, LES MINISTRES N'ONT DONC RIEN D'AUTRE À FAIRE ?


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  • Mais paris m'intéresse toujours autant.

    LES ORIGINES DE LA LÉGENDE DE MONTMARTRE

    EAvant d’être le Montmartre bohème d’Aznavour, la butte était un véritable ghetto. Retour sur l’histoire du Maquis de Montmartre ou comment la légende s’est construite.

    Plus qu’un simple bidonville

    Tout commence dans les années 1890 : le maquis de Montmartre, à l’époque hors de Paris, s’étalait sur les rues Lepic, Caulaincourt et Girardon.

    Malgré les croyances populaires, il s’agissait en réalité plus d’un village que d’un bidonville. En effet, à cette période déjà il y avait un esprit communautaire qui a laissé des traces dans le Montmartre d’aujourd’hui. Les maquisards avaient chacun un rôle et étaient solidaires dans leur misère. Parce que c’est bien de misère dont il s’agissait. Les habitants étaient tous de pauvres gens : en majorité des Parisiens qui ne pouvaient plus payer leur loyer et trouvaient refuge sur les terres inexploitables de l’actuelle Butte Montmartre.

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    (Photo ci-dessus : le Maquis en 1904 – Rue Caulaincourt)

    Comme en témoigne Zola dans l’Assommoir en 1877 : « la butte Montmartre qui bouchait le ciel, avec ses maisons crayeuses, percées des trous réguliers de leurs fenêtres », les conditions de vie étaient rudes au maquis. Les Montmartrois aménageaient des cabanes avec des matériaux de récupération. Certains rapportent même que les serrures étaient faites avec des boites de sardines ! Les moins pauvres avaient la chance de vivre dans des maisons en bois, semblables à des chalets alpins. Toutes ces habitations créaient des ruelles labyrinthiques pour le plus grand bonheur des minots du quartier.

    Le maquis des poètes

    Depuis toujours, la butte a attiré et inspiré les artistes. Van Gogh l’a peinte, Jean Renoir l’a décrite, Utrillo l’a dessinée… Autant de noms célèbres qui ont fait la renommé du Maquis de Montmartre. L’écrivain Berlioz y a aussi séjourné en 1834 au 11 rue Saint Vincent.

    Le début de la fin

    A partir de 1902 tout change : des promoteurs rachètent et volent les terrains aux maquisards pour y construire des villas de luxe style art déco. En 1909, l’avenue Junot commence à sortir de terre, défonçant petit à petit les dernières cabanes du maquis. Le coup de grâce est donné quelques années plus tard lorsqu’un incendie aux origines douteuses brûle les restes du maquis de Montmartre.

    Petit à petit, le bidonville va se transformer en village, le village en quartier et le quartier en légende.

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    Le maquis de Montmartre en 1890

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    Le maquis de Montmartre en 1890

     

    Le maquis de Montmartre en 1900

     

    Le maquis de Montmartre en 1900

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    Le maquis de Montmartre vers 1900

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    Le maquis de Montmartre vers 1900

     

    Le maquis de Montmartre en 1903

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    Le maquis de Montmartre en 1904

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    Le maquis de Montmartre en 1904

     

    Le maquis de Montmartre en 1904

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    Le maquis de Montmartre en 1907

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    Le maquis de Montmartre en 1907

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    « Le maquis de Montmartre » de Maurice Utrillo

    Bien sur trouvé sur le net.

     


     





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  • En surfant sur le net j'ai trouvé cet article dans Paris secret insolite et interdit

    Petite salle obscure, chaises rouges, grand écran, pas de doute nous sommes bien dans un cinéma. Mais pas dans n’importe lequel. Le Beverley est le dernier cinéma porno de Paris. Attention ! Ici, pas de films crados du genre Gonzo mais des « chefs-d’œuvre » pour les initiés et nostalgiques des années 80.

    Petites histoires de fesses

    Qu’on se le dise, nous avons déjà tous regardé un film porno. Mais qui d’entre vous a vu un film X sur grand écran, avec des dialogues kitschissimes et des travelling avant/arrière qui pourraient presque faire honneur aux scénaristes de la Nouvelle Vague.
    Chez Maurice, le sympathique patron du Beverley, vous découvrirez plusieurs pépites telles « L’arrière-train sifflera trois fois » de Jean-Marie Pallardy (1975), « 20 000 vieux sous mémère » de Gilbert Roussel (1985), « Code Rectum » de Yann Caramela ou le cultissime « Emmanuelle ». Le parti pris du cinéma est de diffuser uniquement des films en 35 mm de l’âge d’or du film érotique, c’est-à-dire des années 70, 80 et 90.

    Malheureusement, avec l’arrivée d’internet, le Beverley a perdu de sa superbe. Avant l’explosion du web, il accueillait des soirées à thème comme la lecture de poésies érotiques écrites par les spectateurs. Aujourd’hui vous pouvez être sûr d’avoir une rangée pour vous tout seul…et ce n’est pas si mal.

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    Le dernier bastion anti YouPorn

    Aujourd’hui, les amateurs de films pornos intellos ne se bousculent plus au guichet. Maurice Laroche estime qu’il avait le double de clients il y a dix ans. D’ailleurs, la survie de ce dernier bastion « anti YouPorn » est miraculeuse quand on sait que 85% de la consommation de vidéos pornos se fait sur des sites gratuits …

    Pour info, Paris reste la capitale mondiale du cinéma même si elle ne compte plus qu’une centaine de salles obscures contre 460 dans les 60’s. Le cinéma X a lui aussi perdu la quasi totalité de ses salles puisqu’il n’en reste qu’une versus trente dans les 80’s.

    Quand vous aurez soif de films d’auteurs, vous saurez où aller. Merci qui ?

    LA NOTE 
    DE LA RÉDAC

     

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