• CE SOIR NOUS ALLONS À L'OPÉRA.

    Construction de l'édifice[

    Si le début des travaux a lieu dès 1861, l'entreprise est marquée officiellement par la pose de la première pierre l'année suivante, en 1862.

    Lors des fouilles et des excavations, destinées à la réalisation des massifs de fondations, les travaux doivent brusquement s'interrompre. Le niveau de la nappe phréatique est rapidement atteint et la situation oblige à la mise en place de pompes à vapeur fonctionnant jour et nuit.

    Un cuvelage (ou radier) en béton de grandes dimensions est créé. Bientôt rempli d'eau, ce dernier permet aux infrastructures de résister à la pression des eaux d'infiltration et de mieux répartir les charges d'une partie des bâtiments dans un sous-sol de qualité médiocre. Il sert, encore aujourd'hui, de réservoir pour les pompiers en cas de sinistre.

    Cette péripétie donnera naissance à la légende d'un lac souterrain alimenté par un cours d'eau portant le nom de « Grange-Batelière » : un imprévu savamment exploité et entretenu par le célèbre roman de Gaston Leroux : le Fantôme de l'Opéra. En réalité, la rivière coule un peu plus loin.

    La construction dure près de quinze années, de 1861 à 1875. Elle est soigneusement cachée derrière des échafaudages recouverts de planches et de verrières qui masquent tout particulièrement la façade principale pour que l'effet de surprise soit total.

    L'Opéra Garnier constitue le prototype et la synthèse du « style Second Empire » (ou « style Napoléon III »), qui devient le décor préféré de la bourgeoisie de la fin du XIXe siècle .

    Cette construction a longtemps été appelée l'« Opéra de Paris », mais depuis l'ouverture de l'Opéra Bastille en 1989, on la désigne par le seul nom de son auteur : Charles Garnier. Les deux sites sont aujourd'hui regroupés au sein de l'établissement public à caractère industriel et commercialCE SOIR NOUS ALLONS À L'OPÉRA.Fa ce à l'opéra il y avait des travaux , impossible de faire une meilleure prise.

    CE SOIR NOUS ALLONS À L'OPÉRA. Mettons nos habits de soirée.

    CE SOIR NOUS ALLONS À L'OPÉRA.Notre gentille  guide

    CE SOIR NOUS ALLONS À L'OPÉRA.Le grand escalier

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     CE SOIR NOUS ALLONS À L'OPÉRA.

    CE SOIR NOUS ALLONS À L'OPÉRA.Les fautueils rouge cramoisi et or

     

    CE SOIR NOUS ALLONS À L'OPÉRA.les plafonds

     

     

     

     

    CE SOIR NOUS ALLONS À L'OPÉRA. Les colonnes plaquées de poudre d'or, normalement cela devait être en feuilles d'or, , mais cela revenait trop cher.

    CE SOIR NOUS ALLONS À L'OPÉRA.

    CE SOIR NOUS ALLONS À L'OPÉRA.Le grand salon, où l'on fait des receptions lors de la visite de chefs d'états, ou autres manifestations.

    CE SOIR NOUS ALLONS À L'OPÉRA.Les plafonds

    CE SOIR NOUS ALLONS À L'OPÉRA.

    t donnat sur la place de l'opéraCE SOIR NOUS ALLONS À L'OPÉRA.Le sol entre la salle et le grand salon.

    Je vous montrerai encore quelques photos prisent lors de cette sortie avec le club de Saint Cloud.

     

    « PETIT MESSAGE.UNE PENSÉE. »

  • Commentaires

    1
    Mardi 24 Mars 2015 à 17:41

    Bonsoir Marie-France,

    Oh la veinarde, tu vas voir quoi ? Passe une bonne soirée, bises, Véronique

     

         Pluie - SULLY PRUDHOMME

    Il pleut. J'entends le bruit égal des eaux ;

    Le feuillage, humble et que nul vent ne berce,

    Se penche et brille en pleurant sous l'averse ;

    Le deuil de l'air afflige les oiseaux.

    La bourbe monte et trouble la fontaine,

    Et le sentier montre à nu ses cailloux.

    Le sable fume, embaume et devient roux ;

    L'onde à grands flots le sillonne et l'entraîne.

    Tout l'horizon n'est qu'un blême rideau ;

    La vitre tinte et ruisselle de gouttes ;

    Sur le pavé sonore et bleu des routes

    Il saute et luit des étincelles d'eau.

    Le long d'un mur, un chien morne à leur piste,

    Trottent, mouillés, de grands boeufs en retard ;

    La terre est boue et le ciel est brouillard ;

    L'homme s'ennuie : oh ! que la pluie est triste !

    René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907)

    2
    Mardi 24 Mars 2015 à 18:33

    comme si on y était, c'est grandiose

    avec ce temps, la sortie idéale

    à + Marie

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    3
    Mercredi 25 Mars 2015 à 05:12

    Bon mercredi : kdo pour vous

    marie france 

    et gros bisous  

    dany

    4
    Mercredi 25 Mars 2015 à 06:31

    ce n'est pas pour moi

    je suis en rase campagne

    bise

    5
    Mercredi 25 Mars 2015 à 08:23

    merci pour cette belle visite j étais quai Voltaire lundi et je suis passé par là bises

    6
    Jeudi 26 Mars 2015 à 17:02

    Bonsoir Marie-France,

    Un petit bonsoir de Paris. J'espère que tu vas bien ? Bonne soirée, grosses bises, Véronique

      

    Le printemps

    Le printemps n'a point tant de fleurs,
    L'automne tant de raisins mûrs,
    L'été tant de chaleurs halées,
    L'hiver tant de froides gelées,
    Ni la mer a tant de poissons,
    Ni la Beauce tant de moissons,
    Ni la Bretagne tant d'arènes,
    Ni l'Auvergne tant de fontaines,
    Ni la nuit tant de clairs flambeaux,
    Ni les forêts tant de rameaux,
    Que je porte au coeur, ma maîtresse,
    Pour vous de peine et de tristesse.

    Pierre de RONSARD



    7
    Jeudi 26 Mars 2015 à 20:11

    Quel lieu magnifique .. quel spectacle es-tu allée voir !!!

    çà a dû te changer les idées : avoir l'impression d'être "ailleurs" ...

     Je ne suis jamais allée à l'Opéra, çà doit être quelque chose de prenant !!

    Mes bisous Marie France sous les giboulées du Nord , il fait bien frisquet !!Nicole



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