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La dernière semaine de decembre je fais brûler une bougie pour ne pas emporter les ennuies de l année, et aussi je jette mon sac à aspirateur , pour avoir un propre pour la nouvelle année. La dernière chose je m habille toujours en blanc même si je reste seule à la maison, cette dernière me viens du Bresil, c est pour honorer Imanja la Désse de la mer.
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Ce petit poème est dédié à tous les enfantsoubliésNoël OubliéRien n'est plus cher, au cœur d'un enfantQu'un Noël blanc, rempli de présentsHélas ! Pour plusieurs de ces chers petitsCette fête, cette année, se fera dans l'oubli.Si l'on pouvait, ne serait-ce qu'un instantPenser aux autres, être un peu moins friandApprendre à partagerLe visage de ces enfants l'on verrait rayonner.Oh que j'aimerais, en cette nuit féerique,Être magicien, ne serait-ce qu'un instantAfin que d'un seul coup de baguette magiqueJe réalise le rêve de tous ces chers enfants.Ah ! Si seulement je le pouvais, j'offrirais,A tous les petits enfants de cette terreUn halo de bonheur, d'amour, de joieSans toutefois oublier de remplir leurs chaussettes.Malheureusement, je ne suis qu'un pauvre vieux monsieurQui ne peut que demander et un jour espérerQue la vie pour eux soit moins cruelle et que brilleUne lueur d'espoir dans le cœur de ces enfants oubliés.
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Entre 2000 et 1200 avant JC, on parlait déjà d'un arbre (L'épicéa, arbre de l'enfantement), le jour du 24 décembre, puisqu'on considérait ce jour comme la renaissance du soleil. Les celtes avaient adopté un calendrier basé sur les cycles lunaires. A chaque mois lunaire était associé un arbre, l'épicéa fut celui du 24 décembre. Pour le rite païen du solstice d'hiver, un arbre symbole de vie était décoré avec des fruits, des fleurs et du blé.
En 354, l'Eglise institue la célébration de la naissance du Christ, le 25 décembre, pour rivaliser avec cette fête païenne. Initialement la célébration de Noël se résumait à la messe de la nativité.
On raconte qu'un moine évangélisateur Allemand de la fin du VIIe siècle, Saint Boniface (né en 680), voulait convaincre les druides germains, des environs de Geismar, que le chêne n'était pas un arbre sacré. Il en fit donc abattre un. "En tombant, l'arbre écrasa tout ce qui se trouvait sur son passage à l'exception d'un jeune sapin".
A partir de là, la légende fait son oeuvre. Elle raconte que Saint Boniface a qualifié ce pur hasard de miracle, et déclaré dans sa même prédication : "Désormais, nous appellerons cet arbre, l'arbre de l'Enfant Jésus." Depuis, on plante en Allemagne de jeunes sapins pour célébrer la naissance du Christ.
Au XIème siècle, l'arbre de noël, garni de pommes rouges, symbolisait l'arbre du paradis. C'est au XIIème siècle que la tradition du sapin est apparue en Europe, plus précisement en Alsace.
On le mentionne pour la première fois comme "arbre de noël" en Alsace vers 1521. Au XIVème siècle, les décorations étaient composées de pommes, de confiseries et de petits gâteaux. A cette même époque, l'étoile au sommet de l'arbre, symbole de l'étoile de Bethleem commença à se répandre. Ce sont les protestants en 1560 qui développèrent la tradition du sapin de noël pour se démarquer des catholiques.
Au XVIIème et XVIIIème siècle apparaissent les premiers sapins illuminés. On utilisait des coquilles de noix remplies d'huile à la surface desquelles des mêches flottaient ou des chandelles souples nouées autour des branches.
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